m a r t i n l a q u e t
P U B L I C A T I O N S
PEINTURE
POÉSIE
Poésie Vive
cliquer ici 2007-2008
* * *
Pendant
5 ans à la médiathèque d'Ambérieu des
poètes sont venus lire leurs textes et rencontrer le public
8 octobre 1999 Pierre PERRIN
« Cette langue drue, charnue, brutale sait dénicher, à la pointe du mot, l'or de la vérité sensible. » (Claude Michel Cluny)
« Cette langue drue, charnue, brutale sait dénicher, à la pointe du mot, l'or de la vérité sensible. » (Claude Michel Cluny)
19 novembre 1999 Jean-Jacques CELLY
« Son oeuvre, lentement et passionnément élaborée à travers les années, mérite aujourd'hui sa place parmi les premières en France » (Raymond P. Poggerburg)
« Son oeuvre, lentement et passionnément élaborée à travers les années, mérite aujourd'hui sa place parmi les premières en France » (Raymond P. Poggerburg)
21 janvier 2000 Jean-Alexandre LAQUET
BIEN SOUVENT
Bien souvent nous ne sommes
qu'un puits aveugle et vide
au fond duquel une colombe
se meurt
Bien souvent nous ne sommes
qu'un puits aveugle et vide
au fond duquel une colombe
se meurt
7 avril 2000 Jean ANTONINI
à l'ombre
les bosquets de fusain respirent
dans l'air du soir
(Ternes)
les bosquets de fusain respirent
dans l'air du soir
(Ternes)
26 mai 2000 Isabelle PINÇON
"Je fabrique mes histoires sur un bout de terrain, sans clôture ni entourage. Je pose mes pierres un peu au hasard, j'invente des formes qui ne respectent pas tout à fait les règles de la construction..." (I.P.)
« Isabelle Pinçon arpente un monde lisse, blanc et rond comme une lune susprendue à l'intérieur de soi. » (m.v)
"Je fabrique mes histoires sur un bout de terrain, sans clôture ni entourage. Je pose mes pierres un peu au hasard, j'invente des formes qui ne respectent pas tout à fait les règles de la construction..." (I.P.)
« Isabelle Pinçon arpente un monde lisse, blanc et rond comme une lune susprendue à l'intérieur de soi. » (m.v)
20 octobre 2000 Roland TIXIER
simplement les mains
le corps lisse du temps
simplement devenir le temps
comment dire
un monde sans histoire
le corps lisse du temps
simplement devenir le temps
comment dire
un monde sans histoire
15 décembre 2000 Geneviève RAPHANEL
Geneviève Raphanel est une exlporatrice de
l'écriture. Elle arpente plusieurs territoires : le roman, la
nouvelle, la poésie, le théatre.
Mais l'oeil - sur quelle serrure
l'invisible l'écarte
Mais l'oeil - sur quelle serrure
l'invisible l'écarte
19 janvier 2001 Jacques ANCET
« La poésie c'est le bruit que fait le monde quand je parle » (J.A.)
« La poésie de Jacques Ancet révèle de vertigineux dénivelés ; elle connaît le gouffre, l'abîme, les sommets, les progressions ténébreuses et les joies de l'altitude. Elle est une tentative délicate, fervente, pour offrir du souffle, de la présence, de l'amitié en partage. » (André Velter)
« La poésie de Jacques Ancet révèle de vertigineux dénivelés ; elle connaît le gouffre, l'abîme, les sommets, les progressions ténébreuses et les joies de l'altitude. Elle est une tentative délicate, fervente, pour offrir du souffle, de la présence, de l'amitié en partage. » (André Velter)
23 février 2001 Jean-Louis JACQUIER-ROUX
« Longtemps le hasard m'a envoyé gentiment
promener : Lyon, la Bourgogne, le Jura, la vallée du
Grésivaudan, le Trièves enfin où il semble m'avoir
assigné définitivement sous l'ombre immense de Giono.
» (J-L.J-R.)
16 mars 2001 Jean-Pierre SIMÉON
Le mot
Je cherche un mot
vaste et chaud comme une chambre
sonore comme une harpe
dansant comme une robe
clair comme un avril
depuis si longtemps je cherche
mais j'ai confiance en vous
il va naître de vos lèvres
Sur les grèves où les fleurs marchandent notre sang, sous le marteau des faims originelles, une amande dans l'explosion de sa gangue, délivre les consonnes.
Gestes volontairement retenus, prisonniers, comme les battements d'ailes de l'albatros, mains tordues qui se croisent et se décroisent. Silhouette immense sur la scène, Loïc Lantoine attend quelque chose, on ne sait quoi, dans un silence qui n'est ponctué que par les notes du contrebassiste François Perron. De ports glauques en quais de gare, de chair et de frissons, humour, dérision, tendresse, ferveur. Il nous entraîne dans un univers d'émotions où "la seule mort, c'est quand on ne s'aime plus".
« Gabriel Le Gal cherche dans le visible d'invisibles signes et offre une poésie spontanée, généreuse et intérieure » (m.v)
« Abdallah Zrika appelle poésie ce combat qu'il mène chaque jour pour ordonner les mots, ces entités énergétiques, comme si chacun d'eux était la pièce d'un puzzle à la taille de l'univers, ou plutôt d'une galaxie encore inconnue qui se nommerait liberté, ou amour, ou vraie vie. » (Bernard Noël)
« J'attrape à pleines mains un texte qui me vient du fond des yeux, et je le lance à pleines mains au fond des yeux de celui qui écoute. Au fond des yeux de celui qui écoute, c'est un lac immense, sur lequel les paroles flottent » (P.D.)
Je cherche un mot
vaste et chaud comme une chambre
sonore comme une harpe
dansant comme une robe
clair comme un avril
depuis si longtemps je cherche
mais j'ai confiance en vous
il va naître de vos lèvres
20 avril 2001 Marc PORCU
Sur les grèves où les fleurs marchandent notre sang, sous le marteau des faims originelles, une amande dans l'explosion de sa gangue, délivre les consonnes.
12 octobre 2001 Thierry RENARD
« ÉCRIRE EST UN VERBE DONT J'INTERROGE ENCORE
LE SENS ET QUI DONNE SENS À MA VIE. » (T.R)
16 novembre 2001 concert Loïc LANTOINE
Gestes volontairement retenus, prisonniers, comme les battements d'ailes de l'albatros, mains tordues qui se croisent et se décroisent. Silhouette immense sur la scène, Loïc Lantoine attend quelque chose, on ne sait quoi, dans un silence qui n'est ponctué que par les notes du contrebassiste François Perron. De ports glauques en quais de gare, de chair et de frissons, humour, dérision, tendresse, ferveur. Il nous entraîne dans un univers d'émotions où "la seule mort, c'est quand on ne s'aime plus".
décembre 2001 Gabriel LE GAL
« Gabriel Le Gal cherche dans le visible d'invisibles signes et offre une poésie spontanée, généreuse et intérieure » (m.v)
janvier 2002 Abdallah ZRIKA
« Abdallah Zrika appelle poésie ce combat qu'il mène chaque jour pour ordonner les mots, ces entités énergétiques, comme si chacun d'eux était la pièce d'un puzzle à la taille de l'univers, ou plutôt d'une galaxie encore inconnue qui se nommerait liberté, ou amour, ou vraie vie. » (Bernard Noël)
22 mars 2002 Prévert, l'acrobate, ingénu
26 avril 2002 Patrick DUBOST
« J'attrape à pleines mains un texte qui me vient du fond des yeux, et je le lance à pleines mains au fond des yeux de celui qui écoute. Au fond des yeux de celui qui écoute, c'est un lac immense, sur lequel les paroles flottent » (P.D.)
11 octobre 2002 Victor Hugo, le mage inclément
15 novembre 2002 Joël VERNET
« On met des années à trouver un peu d'air
hors de l'eau du réel. On gagne les mots un à un...
» (J.V.)
6 décembre 2002 concert Rémo GARY
10 janvier 2003 Robert PICCAMIGLIO
« Alternant le débit intarrissable, les
gestes brusques et les silences pensifs, il a tant à dire, ne
pouvant s'empêcher de dire haut ce qui lui traverse l'esprit.
» (m.v)
« Poésie ou prose, la langue est la même, passionnée, puissante, implication à l'univers cosmique et quotidien. » (m.v)
avril 2003 Lionel BOURG
« Poésie ou prose, la langue est la même, passionnée, puissante, implication à l'univers cosmique et quotidien. » (m.v)
9 janvier 2004 concert Dominique PREVEL
30 janvier 2004 concert Allain LEPREST
